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Alchera de A à A

29 juin 2013

Le mois d'après

Un mois après mon rendez-vous avec le Dr Roth, j'ai eu mon premier rendez-vous de suivi. Autant être honnête, je n'avais pas vraiment suivi le régime scrupuleusement, quelques écarts, des excès, mais quand même des plats sains. Les ponts de mai, les grands week-ends, les visites chez les parents, beaux-parents et grands-parents n'avaient pas favorisé des repas équilibrés. Mais j'étais assez fière de moi. J'avais repris goût à la cuisine, à faire les courses, j'avais appris à faire des repas sains. Même si je me sentais ballonée, j'étais confiante. La diététicienne m'a félicité pour cette prise de conscience puisque c'était ça qui avait motivé ma venue, réapprendre le plaisir de manger sainement. Elle m'a donné d'autres conseils, d'autres recettes simples, des idées de repas froid pour les midis.

Mais au moment de la pesée, une très mauvaise surprise. Loin d'avoir perdu du poids, j'avais pris un kilo en un mois! Alors que j'avais essayé de faire attention! Biensûr, il y avait eu les excès des gros week ends, mais à côté, j'avais tenté de faire plus attention. La bonne nouvelle, c'est que sur ce kilo, j'ai pris 300g de muscle et 400g d'eau. Comme mon organisme était déshydraté, elle a pris ça pour une bonne nouvelle, c'est que mon corps se réapproprie les bienfaits d'une bonne alimentation, mais à son rythme.

Et là, j'ai eu le déclic. J'en ai assez. Sa gentillesse m'a exaspérée, je veux manger sainement d'accord, mais si manger sainement veut dire prendre encore plus de poids qu'est-ce que cela m'apporte? J'ai eu une boule dans la gorge, une envie de m'enfuir et me faire vomir tous ces repas ingurgités depuis 3 ans, depuis que je me suis mise à grossir pour compenser une relation foireuse, envie de retourner chez mon ex et le forcer à engloutir tout ce que j'avais bouffé en étant avec lui et qu'il ne se rendait pas compte à quel point j'allais mal, envie d'aller me cacher, envie de pleurer de honte en me disant que ce corps n'est pas le mien et que mon copain actuel ne sait pas ce qui se cache sous cette graisse... J'ai gardé un sourire de façade. J'ai réglé, je suis partie, j'ai pleuré chez moi.

J'ai continué à manger équilibré, mais sans être convaincue que ça servait à quelque chose. J'ai sauté des repas, grignoté, mangé sainement, pleuré, culpabilisé... Je n'aime plus mon corps, je ne me supporte plus en photo, mes bras trop gros, mon visage rond, mes grosses cuisses, mon gros ventre, mes gros mollets... Et le pire c'est que tout en essayant de changer les choses, je continue à craquer, dès que je suis seule à l'appart, je me fais des tartines, mange du fromage, donc le soir je n'ai pas faim, mais pour qu'il ne se rende pas compte que je fais des excès, je mange quand même, et j'ai mal au ventre... et je culpabilise... C'est un cercle vicieux. Je pensais que voir une diététicienne allait m'aider mais non...

Et puis...

Une collègue m'a conseillé des séances de palper-rouler. Ca a marché sur elle, elle a perdu 5cm de tour de taille, en faisant ça et un régime. J'en suis à ma 3è séance. C'est cher, c'est douloureux mais ça a l'air de marcher. La peau est plus douce, les capitons des cuisses moins visibles. L'avantage c'est que le cercle vicieux commence à être brisé. Je sais que le palper-rouler et le massage drainant ne sont pas des solutions miracle, sans un peu d'effort de ma part, ça ne servira à rien. J'ai acheté un step, j'ai pris des vidéos de Jessica Mellet, step, aerobic, body sculpt et stretching. J'en fais depuis une semaine. J'essaye d'en faire une heure par jour, et une série d'abdos le matin en me levant. Je sens le creux de ma taille revenir. Mes cuisses se sont affinées. Je reprends goût à l'effort.

Je veux retrouver mon corps, je veux retrouver mon poids de forme, je veux retrouver le plaisir de me voir en photo, dans un miroir, en cabine d'essayage... Aujourd'hui je fais 79.89kg (je n'ai pas passé la barre des 80...), je fais un 44-46 en pantalon, et XL en haut (105C en soutien-gorge). Il y a trois ans, j'étais à 65kg, je faisais un 38-40 en pantalon, M en haut (95C). Mon but est de revenir à ce poids, soit perdre 15kg. Je me donne un an pour y arriver. Je ne veux pas mettre d'enfant en route avant d'y arriver, et comme je veux un enfant rapidement, je n'ai pas le choix.

Je vais continuer à manger sainement, essayer de me tenir à une séance de sport par jour, mais par contre, je sais que ce n'est pas l'idéal, je ne mangerai pas le soir (ou très peu). Après tout, je n'ai quasiment jamais faim à l'heure des repas, ça sera simplement écouter mon corps. Voilà où j'en suis, démoralisée de voir que tout ça semble n'avoir servi à rien, nostalgique en regardant mes vieilles photos facebook, et pleine d'entrain paradoxalement pour redevenir moi. Mon premier but: arriver à 72kg pour la mi-septembre, date du mariage d'un ami de Monsieur, mariage au cours duquel je vais rencontrer son ex avec qui il est resté 7 ans, ex qui a souffert de troubles anorexiques, ex à qui je dois montrer qu'il aime les rondeurs, et donc moi, et pas qu'il compense avec une grosse... C'est pour moi aussi que je veux maigrir, mais cet objectif va vraiment me booster, je me connais, j'ai besoin d'un but, d'un ennemi pour y arriver, et cet ennemi c'est cette fille que je ne connais pas, mais qui va me permettre de réussir.

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28 avril 2013

Un week end chargé!

Et surtout un week-end d'excès! J'ai largement fait mes 3 excès de la semaine! Apéro, repas au restau, gateau au chocolat, encore de l'alcool! Mais un week-end tellement agréable.

J'ai cependant eu un choc, ça faisait un moment que je n'étais pas retournée chez moi, j'avais passé beaucoup de temps chez mon copain ces derniers temps... et ça m'a vraiment fait bizarre de me rendre compte que je ne me voyais plus en entier dans mon psyché... Je suis devenue trop large pour mon miroir. Pas mal de fringues qui ne me vont plus du tout... Je pense que je ne m'étais pas rendue compte de ma prise de poids car chez lui il n'y a pas de miroir en pied, là je suis quand même face à la réalité, face aux kilos que j'ai pris cet hiver et qui je pense auront du mal à partir d'ici l'été. Mais bon, je mise sur un nouveau mode de vie plus sain, ça ne viendra pas en quelques jours, ce n'est pas un régime miracle à la con que l'on voit dans les magazines. Même si, soyons honnête, je vise quand même le maillot de bain cet été, et la belle petite robe pour un mariage en septembre.

Lundi je ne peux pas aller bosser en vélo, je serai trop chargée, je suis obligée d'y aller en voiture. Mardi, j'essairai de le faire, si mon copain a eu le temps de réparer mes freins, sinon j'y vais à pied... il faut que je réapprenne à bouger, que tout ça ne soit pas que des paroles en l'air.

26 avril 2013

Le jour d'après

Tout est dans la tête... Je le crois bien, ce matin, bien qu'ayant mal dormi, je me suis sentie légère, mon ventre semblait plat plat plat sous la douche, mon ombre sur le mur fine fine fine! Oui, je crois que le Dr Roth a été un déclic. Aujourd'hui je ne me suis pas sentie dégoûtée par mon corps, prisonnière de mes kilos. Tout me semble possible, redevenir moi-même, retrouver ma forme, tout est à portée de main. Le plus dur est à venir maintenant, je me connais, je suis pleine de bonne volonté au début, le tout est de savoir continuer et s'y tenir par la suite. Ca, ça va être une autre histoire. Mais là, bien que le soleil ne soit plus là, je revis.

Première difficultés, ce week end, je reçois une amie que je n'ai pas vu depuis longtemps, donc forcément, on va se faire des restaus, on va prendre l'apéro... Comment vais-je gérer ça? En culpabilisant? En me privant? Je ne sais pas encore... Peut-être que tout se fera naturellement, que je ferai attention sans m'en rendre compte si le déclic a vraiment été là.

On  verra bien lundi.

 

Au menu ce midi: le reste des pommes de terre d'hier avec les courgettes, j'ai ajouté une boîte de thon. Ca me fait une petite salade simple et sympa. Un laitage et un fruit.

 

25 avril 2013

un premier pas

Voilà, je sors du rendez-vous. Je me suis trompée de bâtiment, j'ai crapahuté dans le parking à la recherche d'un escalier, d'un ascenseur, de quelque chose pour arriver au cabinet, je me suis perdue dans les couloirs de la polyclinique, mais finalement, j'y étais... et à l'heure!

Accueillie par une jeune femme à peine plus âgée que moi (sans doute plus jeune même), avec une voix douce, et une poignée de main ferme... C'est bizarre, mais cette poignée de main m'a inspiré confiance, je desteste quand les gens disent bonjour d'une main molassonne. Toute fine, très jolie. Mais ce n'est pas l'apparence qui compte... quoique si celle qui m'avait ouvert avait pesé 100kg j'aurai sans doute remis en cause ses compétences. Les coordonniers sont les plus mal chaussés, mais les dentistes ont les plus belles dents, non?

Son cabinet était sobre, mais décoré par des tableaux de Klimt, j'ai été séduite par ces reproductions, et le stress s'est envolé, je ne pensais qu'à "mais où les a t-elle dégôté?". La séance a commencé par la question rituelle: pourquoi êtes-vous ici? Evidemment pour perdre du poids... mais surtout pour réapprendre à manger correctement, je veux pouvoir manger à ma faim, de manière équilibrée, savoir ce qui est bon pour moi, savoir comment  préparer un plat, ce qu'il faut mettre dedans pour que ce soit bon pour moi et pour mon compagnon, je veux que lorsque j'aurai des enfants je puisse leur faire une bonne cuisine, je veux pouvoir monter jusqu'à votre cabinet sans prendre l'ascenseur parce que j'ai mal aux jambes, je ne veux plus avoir ce mal de dos, ces genoux qui craquent, je veux retrouver mon poids de forme et donc ma forme. 

Elle a noté beaucoup de choses, elle m'a posé des questions sur mes habitudes alimentaires. J'ai été honnête, on commande souvent des pizzas par fainéantise, je saute toujours mon petit-déjeuner et j'ai des fringales vers 17h. Je lui ai parlé de ma prise de poids en continu depuis 10ans, d'une période où stressée par les études, le boulot, le petit copain, j'avais perdu 7 kg en 1 mois arrivant ainsi à remettre mes jeans du lycée et à paniquer complètement ma mère qui avait cru que je faisais de l'anorexie... Ces kilos que j'ai repris avec les intérêts en à peine 4 mois après. Je n'ai jamais vu une once de "faut se sruveiller quand même", elle ne m'a pas jugée, elle a été pleine de bons conseils du début à la fin de la séance. Je lui ai raconté l'épisode du coach sportif, elle a soupiré que les coachs ne sont pas des psy. Elle a compris pourquoi j'avais arrêté et ne m'a pas fait de leçon de morale sur la nécéssité de faire du sport et de bouger.

La "pesée" n'a pas été un moment si difficile que cela. Je suis à 78,4kg pour 1m68. Ma masse graisseuse est autour de 30%, et mon organisme manque d'eau. Mon poids de forme serait autour de 62kg, soit le poids que j'avais au lycée. J'ai apprécié le fait qu'elle ne le mentionne pas comme d'un objectif à atteindre, elle m'a montré le papier, a surtout parlé des pourcentages... J'ai vu ce poids de forme, mais elle n'a rien dit dessus, j'ai apprécié que "l'objectif" ne soit pas chiffré comme dans une compétition ou en entreprise avec des normes de rentabilité. Elle ne s'est pas attardé sur les 78kg, elle n'a pas calculé l'IMC, elle n'a pas fait toutes ces choses qui me font peur et qui me mettent face à mon poids. Elle a considéré ça d'un oeil humain.

Elle m'a fait parlé, beaucoup. On a établit des menus types, selon mes contraintes du midi notamment, mais simplement avec les familles d'aliment: féculent, viande, légume vert. Elle laisse le choix pour composer soi même les menus. Elle m'a donné une liste des aliments conseillés, ceux à consommer avec modération et ceux de la "liste noire". Ca n'a rien de nouveau: la charcuterie n'est pas conseillée, la glace non plus... Tous ces principes, je les connais, mais j'avais tendance à les zapper. Là au moins ils sont écrits, je n'ai pas l'excuse du "oh je savais paaas..." Mais, puisqu'un régime trop restrictif ne marche pas, elle considère que, d'accord il faut se remettre à manger sainement mais 3 écarts par semaine, ce n'est pas grave. Je peux donc trois fois par semaine prendre l'apéro avec mon chéri, en grignotant quelques tranches de saucissons (mon péché mignon!) sans culpabiliser pour mon tour de taille.

Elle m'a permis de comprendre (sans le dire elle-même, c'est moi qui ai fait ce chemin tout en parlant avec elle) que ce qui me manquait c'était un peu de volonté... pas de volonté de maigrir, mais volonté tout court! Faire les courses, faire la cuisine, faire la vaisselle, et évidemment, bouger un peu. Elle ne m'a pas spécialement conseillé de reprendre le sport (et de toute façon je ne crois pas que je retournerai dans cette salle), mais c'était implicite. J'ai aimé ça, qu'elle ne soit pas dans l'autorité du médecin, mais dans le conseil et l'écoute. En sortant de son cabinet, je me suis dit que si je voulais vraiment me reprendre en main une des premières choses à faire serait d'aller bosser à vélo dès lundi et de laisser ma voiture au garage. Je me suis sentie bien, belle en sortant de chez elle.

Je suis allée faire des courses, j'ai mis en pratique les conseils donnés. J'ai fait mon premier repas diététique: 100g de féculent (pomme de terre), 200g de légumes (courgette), 100g de viande (un steack), un laitage (yaourt Perle de Lait nature, délicieux, onctueux) et un fruit (un kiwi). Pour la première fois depuis de longs mois je ne me sens pas balllonée après le repas, je n'ai pas envie de grignoter alors qu'il est 16h, je suis heureuse d'avoir trouvé ce qu'il me fallait: un bon coup de pied virtuel au cul pour avancer!

23 avril 2013

Se reprendre en main

J'ai toujours un problème de relation avec mon corps. Je me suis toujours trouvée trop grosse, plus grosse que les autres filles. Peut-être que ça vient de la danse, de l'idéal classique de la danseuse filiforme que Liliane voulait imposer dans les groupes. Peut-être que ça vient de ma famille, à part ma grand-mère toute les femmes de la famille ont toujours surveillé leur poids.

Pourtant quand aujourd'hui je regarde les photos de l'époque je me dis que j'étais vraiment bête. J'étais élancée, fine, musclée, pas de gras au ventre, juste des petits plis quand je m'asseyais mais rien de franchement alarmant. Mais au lycée ces plis me pourrissaient la vie.

En terminale je pesais 62kg pour 1m68. Pas un mannequin, mais quand même, j'étais super bien foutue! J'ai retrouvée mes mensurations dans un de mes journaux intimes gardé chez mes parents: 86-62-90. Et pourtant... Je me trouvais horrible sur les photos, j'avais honte en maillot de bain, trop de poitrine, trop de cuisses, trop de ventre, bla bla. Après mon arrivée à Reims, je me suis stabilisée autour de 65kg. Et depuis 4 ans, j'ai pris 15kg. Je ne me pèse pas, mais je ne dois pas être loin des 80kg. Je faisais du 38 à 22 ans, à 28 ans je fais un bon 44, et encore, je suis serrée dedans.

J'ai décidée de me reprendre en main. De faire du sport. En janvier je me suis inscrite en salle, pour me tonifier. J'étais fière de moi, ça me faisait du bien. Mais le coach sportif n'a rien trouvé de mieux pour me motiver que de me dire que j'étais proche de l'obésité morbide. Tu parles d'une motivation. J'ai arrêté au bout de 8 séances, j'avais l'impression qu'on se foutait de moi, que quoique je fasse je n'y arriverai jamais et que de toute façon je pars de trop loin pour retrouver une silhouette normale.

Mais je ne peux pas continuer. Je ne peux pas me laisser grossir de cette façon, régulièrement tous les ans. Mon chéri m'aime, je ne veux pas qu'il ait honte de moi. Je ne veux pas que lorsque j'aurai des enfants on se moque d'eux en me traitant de baleine quand j'irai les chercher à l'école. Je veux que mes enfants mangent équilibré, qu'ils aient une vie saine, comme celle que mes parents m'ont offert.

Je veux apprendre à manger sainement, je veux apprendre à contrôler mes pulsions de gourmandise, je veux me réconcilier avec mon corps et avec l'image que j'en ai.

Mais je ne me sens pas grosse, dans ma tête, je fais toujours du 38, mais les séances d'essayage dans les magasins tournent en crise de larmes dans les cabines. Je veux être bien, pour moi, pour l'image que je renvoie, pour sentir le désir dans les yeux de mon amoureux. Ne vous méprenez pas, il m'aime comme je suis, je faisais déjà 75kg quand on s'est rencontré, mais depuis quelques semaines, je ne mets plus de petites nuisettes (car elles ne me vont plus) je ne dors plus en culotte ou en string (ils ne me vont plus non plus, je suis trop serrée), je garde mon t-shirt. Je n'en rachète pas, car je ne me sens pas prête à demander un 46 en magasin, j'attends que ça passe ou que ça s'élargisse... Du coup, lui se sent sans doute moins désiré. Je le comprends, je ne suis plus vraiment bien dans ma peau en ce moment.

C'est venu de remarques anodines (si on met de côté le coach qui devait de toute façon détester les grosses), du «et toi, tu as toujours été ronde? » au «c'est cool, maintenant on fait la même taille » en passant par le « ben moi aussi j'ai pris du cul ». Jamais méchant, venant de personnes que j'aime, qui ne veulent pas me faire de mal je le sais car ces remarques ne sont pas très nombreuses. Mais elles sont là, et elles font réfléchir. Je n'ai jamais montré au boulot que je voulais maigrir car je sais que sinon j'aurai eu droit à toute sorte de regards et de conseils sur mes habitudes alimentaires.

Je ne serai jamais une de ces filles fines, je n'aurai jamais le corps de Jennifer Aniston, je m'en fiche. Je veux juste être bien. Récupérer mon souffle, ne plus être crevée en arrivant au 2è étage, ne plus avoir de douleur dans les genoux parce que je porte 15kg de trop en continu, ne plus avoir le dos qui craque dès que je marche trop longtemps. Pouvoir redanser une choré de 10 minutes sans que le public ait l'impression que je vais claquer.

Voilà...

Hier j'ai pris rendez-vous chez une nutritionniste de Reims. On verra bien ce qu'elle me propose. Je ne veux pas d'un régime restrictif, je veux qu'elle m'explique ce que je fais de mauvais pour ma santé, ce qui risquerait que la gynéco me dise que je pourrai avoir des problèmes pour avoir des enfants à cause de mon surpoids. Je souhaite de tout coeur qu'elle soit un brin psychologue ou pédagogue, qu'elle me laisse expliquer mes problèmes et ne pas me sortir la liste des aliments interdits « pas de pain, pas de chocolat, pas d'apéro, pas de saucisson... » liste que de toute façon je ne respecterai pas, je le sais. Si j'avais été à Paris je serais allée tout de suite chez le professeur Zermati, ce que j'ai lu sur lui dans le blog de Caroline www.penseesderonde.fr m'a convaincue de prendre ce rendez-vous.

 

Jeudi, je vois donc le Dr Roth à 11h.

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